Nom :Telemnar
Prénom : Alatarielle
Age : 53 ans (ce qui équivaut à 21 ans en âge humain)
Espèce : Elfe sylvain
classe social : Elle est fille d'une haute-elfe, mais elle a toujours renié son titre de noblesse. Maitenant, elle agit plutôt comme une rôdeuse.
Caractère ( défauts/qualités ): L'orgeuil en personne. Elle ne s'exprime pas beaucoup la demoiselle. Elle a parfois des petits air hautain, mais c'est bien parce qu'elle est très indépendante et elle déteste avoir des imbéciles devant elle et rare sont les fois ou elle ne le dit pas d'ailleur. Elle sait être arrogante, beaucoup même. Malgré que derrière son visage de glace et qui exprime rarement un sourire ou une quelconque émotion, c'est une demoiselle qui sait être gentille. Certe pas souvent, mais lorsqu'elle trouve une personne qu'elle l'aime bien, elle fait preuve d'une très grand loyauté. Elle choisit bien ses amis. Elle n'aime pas trahir la confiance des autres et encore moi qu'on trahisse la sienne qu'elle donne difficilement. Le demoiselle de se fit pas à la manière ou encore au style de vie des gens. Un elfe sylvain ou un humain qui agiront en Don Juan avec elle, auront la même réponse! Certe, un côté d'elle n'aime pas beaucoup les autres races, mais elle sait que c'est à cause de ses origines, donc elle ne s'y attarde pas.
Histoire ( 10 lignes minimum ): La demoiselle a eu une enfance qu'on ne pourrait décrire de normal, mais pas de surnaturelle non plus! Vu son caractère et celui que sa mère avait (qui était d'ailleur une Haute-Elfe) elle semblait une enfant difficile. Sa mère n'a jamais été très douce avec elle de toute façon et la manière de répondre de la petite n'aidant pas pour que cela cesse. Contrairement à son père avec qui elle entrenait une très belle relation. Même jeune, elle n'était pas très sociable, son père était son meilleur ami. Son père était un conteur et elle adorait entendre ses histoires, plus que tout. Dés son jeune âge, le destin ne fût pas très bon avec elle. Son père se fût tuer et c'est d'ailleur là que l'enfer pour la demoiselle commença, elle garda comme souvenir de lui que le livre avec toutes ses histoires et ses chants. Sa mère voulait faire d'elle un demoiselle respectable et tout ce qui va avec. Son fort caractère étant du mauvais côté et sa mère voulait bien reglé se problème à tout pris. Elle fugua à ses 19 ans. Elle n'en avait assez, mais ou allez? Elle ne le savait même pas elle même! Elle erra, c'était un style de vie qui lui plu rapidement, on pourrait dire que c'est dans la famille puisque son père, avant la rencontre de sa mère, était un jeune conteur qui aimait beaucoup voyager. Au fil des années, elle rencontra un jeune elfe, malgré son mauvais caractère, la demoiselle fût capable d'aimer, d'aimer profondemment. Ils passèrent des années heureuses et dieu sait combien elle pouvait l'aimer. Le destin frappa de nouveau.Le jeune Elfe au combat, une seule bague lui est resté à la demoiselle. C'était un valeureux guerrier, fier en plus. Elle sombra dans un profond chagrin, mais elle se remit à errer. Elle ne croyait plus en rien, pourquoi tout ceux qu'elle aimait finissaient par voir la mort trop tôt? Au grand jamais elle ne se plaignit. Mais elle vivra de solitude puisqu'elle ne voulait pas s'attacher à d'autre pour ne pas finir par avoir encore de la peine. Qui sait toute cette histoire? même qui sait une seule parcelle? Pas beaucoup de gens.
Description physique ( 3 lignes minimum ): Un teint laiteux, un visage si beau, mais si froid. Des lèvres de miel, un petit nez fin et des yeux brillants, mais sans expression. Elle possède des prunelles azurées que peu de gens parviene à y lire ses sentiments, mais certain seront sans doute capable de le faire un jour ou l'autre! Des lèvres qui s'étirent rarement en un vrai sourire, des sourires arrogants ou hautains viennent plus souvent par contre. De longues bouclettes d'ébènes encadrent se visage aux traits jolies. Quelques mèches rebelles viennent parfois vagabonder devant ses iris bleuâtres qu'elle chasse rapidement d'un geste impatient de la main. Ses manières quand elle parle et cette démarche si graçieuse, sa manière de s'asseoir trompent souvent cette noblesse qu'elle a. Même sa manière de parler la trahit.